« Une brise légère soufflait avec aisance au moment ou Andrew, un jeune interne en médecine, sortait de l’hôpital après une matinée folle. Les personnes qui se croyaient malade étaient encore plus stressante que ceux qui arrivaient en ambulance souffrant d’une crise cardiaque ou encore ceux qui était extirper d’extrême limite d’un véhicule en flamme. Arrêtant de marcher quelques secondes après avoir passer les portes automatiques, le jeune homme inspira longuement. Malgré la froideur de l’hiver québécois, prendre quelque secondes pour respirer n’était pas une mauvaise chose. Cependant, la réalité le reprit rapidement et il se remit en marche vers le stationnement réservé aux employés du centre hospitalier. La tête légèrement baissé et les mains dans les poches, le jeune homme tentait de se protéger du vent comme il le pouvait. Quel idée aussi de ne pas avoir prit sa tuque le matin. Si seulement il avait pu y penser ses oreilles ne lui ferait pas aussi mal d’avoir froid. À ce moment, le jeune homme aperçu enfin son véhicule qu’il démarra a distance. Ainsi il serait certainement un peu plus chaud. Il mit moins de cinq minutes à rejoindre le monstre de métal. Déverrouillant les portes, Andrew se glissa dans la voiture et soupira lentement lorsque les ventilateurs de la machines se mirent à souffler du vent chaud. Si ce n’était pas sa le bonheur, le jeune homme ne le connaissait pas. Faisant démarrer le moteur, le jeune homme se dirigea vers chez lui.

Une fois dans son grand loft, le jeune homme se changea, prit une douche rapide pour enlever l’odeur de l’hôpital de sur lui et il enfila un jean noir de même qu’un t-shirt bleu pâle. Il ne savait pas trop ce qu’il pouvait faire de son après midi. Normalement il aurait revu certains sujets pour être certain d’être à l’aise pour le lendemain, mais il n’en avait pas du tout envie. Il se dirigea donc vers le salon. Rapidement, il se retrouva coucher sur le divan à zapper les différentes chaines à la télévision. Il s’arrêtait parfois pour regarder quelques minutes d’une émission puis il recommençait. Jusqu’au moment ou tomba sur une publicité venant de sa ville. La galerie d’art offrait une nouvelle exposition. Et bien pourquoi pas.

Éteignant la télévision, le jeune homme se releva, remit son manteau et il retourna à l’extérieur. La galerie était tout près. Malgré la température il prit la décision d’y aller à pied. Il fut sur place en moins de vingt minutes. Entrant dans le bâtiment, le jeune homme ouvrit son manteau pour ne pas avoir trop chaud et puis il se mit a marcher lentement, observant les peintures et sculptures visible. »