J'étais de retour dans ma ville natale depuis peu. J'étais revenu en ville il y a quelques semaines car j'ai décidé qu'il était temps pour moi de rentrer à la maison et régler des comptes avec ceux qui avait décidé que ma vie n'avait pas lieu de se perpétuer. Malheureusement pour eux leurs plans n'avaient pas du tout marcher et j'étais toujours bien envie après leur tentative. J'étais rester tranquille ces dernières années, je revenais de temps en temps en ville pour des contrats servant ma vengeance. Mais cette fois j'étais revenu et je n'avais pas l'intention de repartir. J'avais assez perdu de temps dans ma vie... ils m'ont fait perdre la femme de ma vie et l'espoir de fondé une famille alors moi je n'allais certainement finir mes jours en exile avec une vie pathétique. J'allais leur montrer que malgré tous leurs efforts j'étais encore bien en vie et que je n'allais pas les laisser gâcher le reste de mes jours. Bref, aujourd'hui je n'avais qu'un seul but et c'était faire cracher des infos à Antony Vitti, un gars qui gère une compagnie de la mafia, s'il ne me donnait pas ce que je voulais savoir j'allais tout simplement le tuer. Mais c'est un criminel à cravate alors j'étais loin de m'inquiéter, j'allais lui faire cracher le morceau sans trop de soucis. J'avais entendu qu'il sorte du bâtiment puis je l'ai pris par derrière, la main contre la bouche je l'ai amené jusque dans une ruelle quelconque pas trop loin du bâtiment. Il se faisait tard alors je ne m'inquiétais pas d'être surpris pendant mon interrogatoire. Je me mettais à le tabasser violemment. Poing après poing, je pouvais sentir qu'il se rapprochait de l’aveu. Mais il était plus endurant que prévu alors j'ai sorti un poing américain et j'ai commencé à donner des coups de genoux et des coups de coude. Alors qu'Antony gisait au sol avec une dent en moins, mais tenant tout de même à garde le silence, je remarquais que quelqu'un observait la scène. Je me dirigeais donc vers cette présence que j'avais senti, mais elle se mit à fuir. Après avoir déambulé entre les ruelles, je finis par lui bloquer la route.